Gouvernance
Un réseau d’acteur autour des référentiels géohistoriques
Deux instances permettent de piloter les actions du consortium : le comité de pilotage (CoPil) et le conseil scientifique (CS). Au sein de l’UMR ArScAn, une cellule de gestion permet de gérer administrativement les opérations du Consortium. Le dispositif est complété par une assemblée générale et des projets associés qui permettent de diffuser au sein de la communauté du CstPTM les avancées de ses travaux.
Le comité de pilotage (CoPil)
Le CoPil est composé d’acteurs opérationnels du projet et se réuni très régulièrement avec une moyenne de 8 à 10 réunions par an. Outre la gestion de l’activité scientifique et opérationnelle du CstPTM, la mission du CoPil est de faire circuler l’information entre les différents chantiers.
Deux noyaux composent les réunions du CoPil. L’un est composé de deux coordinateurs et de membres permanents et constitue un bureau qui reste stable pour les quatre années du contrat et l’autre est variable et composé d’invités liés aux grands chantiers de l’année en cours. Ces invités peuvent être des experts qui participent aux activités du CstPTM. La configuration du CoPil est revue à chaque début d’année budgétaire.
Liste des membres permanents du CoPil
COSTA Laurent (coord.)
est archéologue, ingénieur de recherche au CNRS au sein de l’UMR 7041 Archéologies et Sciences de l’antiquité. Il assure la direction adjointe de cette unité.
PINOL Jean-Luc (coord.)
est historien, professeur émérite d’histoire urbaine et d’humanités numériques à l’ENS de Lyon, membre du LARHRA, UMR CNRS 5190.
AVINAIN Julien
est archéologue, chargé de mission au département d’Histoire de l’Architecture et d’Archéologie de Paris. Il est responsable du service archéologique et responsable d’opérations (spécialité Antiquité), responsable du projet R&CAP / chercheur associé à l’UMR 7041, équipe GAMA.
CERBELAUD Fabien
est ingénieur d’études en sciences de l’information géographique au sein du service Ingénierie Recherche de l’Institut de Recherche SHS de l’Université de Limoges. Il est membre des équipes GEOLAB (UMR 6042) et CRIHAM (UR 15507).
CROUZEVIALLE Rémi
est ingénieur d’études et responsable du service Ingénierie Recherche de l’Institut de Recherche SHS de l’Université de
Limoges. Il est membre des équipes GEOLAB (UMR 6042) et CRIHAM (UR 15507).
LECAT Paul
est historien, maître de conférences en histoire contemporaine à l’université François Rabelais de Tours et membre de l’EA 6298 Centre Tourangeau d’Histoire et d’étude des Sources (CeTHiS).
MERMET Éric
est ingénieur de recherche CNRS en calcul scientifique et géomaticien à la Toulouse school of Economics (TSE). Il a piloté le pôle géomatique de l’EHESS et pilote aujourd’hui une plateforme de calcul à TSE.
MORET Frédéric
est historien, professeur d’histoire contemporaine à l’Université Gustave Eiffel, Laboratoire Analyse Comparée des Pouvoirs.
NOIZET Hélène
est historienne, maître de conférences HDR en histoire médiévale à l’université de Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Elle est rattachée au Laboratoire de médiévistique occidentale de Paris (LAMOP, UMR 8589). Elle coordonne le projet Alpage qui construit des données géohistoriques de référence sur le Paris médiéval et moderne.
NURRA Federico
est archéologue, chef du service de recherche numérique à l’Institut national d’histoire de l’art (INHA, Paris), il était depuis 2018 responsable des ressources documentaires et numériques au même Institut.
POUGET Frédéric
est géographe, maître de conférence à l’université de la Rochelle. Il est Responsable de la Licence Professionnelle Systèmes d’Informations géographiques de l’université de La Rochelle et est membre de l’UMR 7266 – LIttoral ENvironnement et Sociétés (LIENSs).
ROUET Paul
est urbaniste, ancien responsable de la Banque de Données Urbaines (BDU) de l’Atelier Parisien d’Urbanisme (APUR 2000-2009). Ancien responsable utilisateur du Système d’Information à la Parcelle (1988-2000) pour la Ville de Paris. Ancien professeur à l’Ecole des Ingénieurs de la Ville de Paris EIVP (Bases de Données et SIG 1989-2001).
Liste experts associés au CoPil
- Eric Grosso est géomaticien, ingénieur en développement informatique, indépendant. Il a travaillé dans le cadre du programme Alpage et du programme Mapping Edinburgh’s Social History intervient au niveau du développement de l’écosystème technique et du développement des applications du consortium.
Le conseil scientifique (CS)
Le Conseil scientifique est composé de personnalités du monde scientifique et de l’enseignement supérieur, du monde culturel et patrimonial ainsi que de membres de la société civile. Il est nommé pour 4 années. Il se réuni au moins une fois par an sur proposition du CoPil et rend des avis sur les actions menées par le CstPTM. Il propose des orientations au comité de pilotage pour l’année à venir.
- Marie Carlin, Conservatrice, Ministère de la Culture, Coordinatrice BNF Data Lab.
- Pierre Guibentif, Professeur d’université, directeur de la MSH Paris-Saclay, professeur à Lisbonne.
- Julien Schuh, Maître de Conférence à l’Université Paris Nanterre, directeur adjoint de la MSH Monde.
- Stéphane Serfaty, Professeur en Instrumentation, SATIE UMR CYU, Vice-président de la Fondation des sciences du patrimoine.
- Kouky Fianu, Professeure à l’Université d’Ottawa, Département d’histoire.
- Vincent Jolivet, Chef de la mission projets numériques à l’Ecole Nationale des Chartes.
- Mareike Konig, Directrice adjointe de l’Institut historique allemand, Directrice du département Histoire numérique.
- Stéphane Deschamps, Conservateur général du patrimoine, Chef du service régional d’archéologie d’Ile-de-France.
- Thomas Thévenin, Professeur d’Université directeur adjoint de la MSH Dijon, Directeur du master Transport Mobilité Environnement Climat à l’université de Bourgogne.
- Véronique Minot, Conservatrice, Directrice de la Bibliothèque de l’Hôtel de Ville, Ville de Paris.
- Carola Hein, Professeure à l’Université technologique de Delft et directrice de la chaire d’histoire de l’architecture et de l’urbanisme.
- Valérie Gouet, Directrice de recherche, Membre du laboratoire Lastig, ENSG – IGN.
- Bénédicte Bucher, Chercheuse IGN, Laboratoire Lastig.
- Pauline Rossi, Chargée d’étude DAC, Responsable des Archives de la Commission du Vieux Paris, Ville de Paris.
- Eliana Magnani, Chercheuse CNRS, Directrice adjointe, UMR 8589 – LaMOP.
- Anne-Violaine Szabados, Ingénieure de recherche CNRS, UMR 7041 – ArScan.
- Isabella di Lenardo, Chargée de mission Local Time Machine, Time Machine organisation – EPFL.
- Emmanuel Faure, Responsable SIG à l’Apur (Atelier Parisien d’Urbanisme.
La gestion administrative et financière
La gestion administrative et financière du consortium Projets Time Machine (CstPTM) a été assurée par l’UMR 7041 Archéologies et Sciences de l’Antiquité (ArScAn) qui a été l’organisme d’accueil du consortium durant les quatre années du contrat précédent (2018-2022) et pour les quatre années du contrat en cours (2023-2027).
- Laurent Costa (coord.), pilote la gestion administrative et financière du consortium.
- Sophia Frémiot, dirige la cellule administrative et d’aide au pilotage d’ArScAn.
- Franciska Moutaman-Sevagamy, s’occupe de la gestion des commandes.
- Jean-Michel Tenet, s’occupe de la gestion des missions.
L’assemblée générale et les projets associés
Ce dispositif est complété par une assemblée générale qui regroupe l’ensemble des acteurs du CstPTM (partenaires, membres du CS et du CoPil) et des projets associés qui sont des entités autonomes mais avec lesquelles le CstPTM mène des actions communes.
- L’assemblée générale regroupant tous les acteurs du projet (COPIL, CS, participants et associés) pour le précédent quadriennal a eu lieu lorsque cela a été possible en 2019, 2021 (en visioconférence) et en 2022 (en présentiel). Elle regroupe l’ensemble des acteurs du Consortium toutes institutions confondues. Cette instance nous permet de communiquer et d’échanger avec la communauté plus largement sur les principales avancées de nos travaux.
- Les projets associés : Le consortium dans sa première version (Paris Time Machine 2018-2022) a été très tôt sollicité par des partenaires qui avaient des demandes en termes d’accompagnement sur les thématiques de la géohistoire (mise en place de bases de données spatiales, problématique d’ouverture des données, etc…). La plupart issus d’appels à projet (PCR, ANR, ERC, Thèses…etc.) étaient déjà structurés et disposaient d’une autonomie scientifique et financière. C’est la raison pour laquelle nous avons développé le concept de projet associé permettant à des équipes multi-institutionnelles de rejoindre de manière non contraignante les actions de notre groupe et d’apporter dans la mesure de leurs moyens des contributions à nos travaux (financières ou en temps de travail)
